Côte Basque Madame N°31
Par ici !
16 janvier 2022
Les dernières tendances mode du Pays basque
Par Anne Paillot
De nombreuses marques et créateurs contemporains, talentueux et motivés, ont élu domicile au Pays basque. Pas toujours visibles sur la toile, déjà reconnus ou en devenir, Côte Basque Madame leur offre une vitrine.
Découverte : Oh Gabie !
Créer des sacs féminins et colorés qui viennent réveiller une tenue sage, en s’appuyant sur les savoir-faire artisanaux d’excellence, c’est l’objectif d’Agathe, la créatrice de la marque luzienne Gabie. Peaux de la Tannerie Rémy Carriat, chutes de cuir de maisons de luxe, toiles tissées Artiga et Tissage Moutet… les harmonies de matières et grains de cuir sont une signature de la griffe. Cette attention particulière portée sur le choix des couleurs, des matières et des formes se retrouve dans sa dernière création, le Ttipi Miarritze. Bicolore en cuir vernis et nubuck, il est à découvrir jusqu’au 23 décembre 2021 au Pop-up Gabie.
Pop-up Store
37 boulevard Thiers à Saint-Jean-de-Luz à Saint-Jean-de-Luz
gabiemaroquinerie.com
Coup de cœur : Double vitrage
Une marque textile, un projet artistique et une histoire d’amitié, Double Vitrage c’est tout ça et davantage. Deux amies, Cannelle, graphiste et photographe, et Maialen, costumière et illustratrice de métier, mettent leurs talents en commun et créent à quatre mains des pièces uniques dans un atelier de la Maison Zabaldu à Anglet. Sur les portants, des vêtements de seconde main chinés avec soin sur lesquels leurs univers visuels, inspirés de la faune et de la flore, sont peints à la main ou brodées. À suivre… de près !
Instagram @double_vitrage
Initiative : 64, le bon élève !
Si la marque 64 a toujours privilégié les matières naturelles (lin, coton…) et une fabrication européenne raisonnée, chaque nouvelle collection est l’opportunité de créer des vêtements toujours plus respectueux de l’environnement. Peu à peu, les certifications Oeko-Tex®, Reach* et plus récemment le label GOTS (certification biologique des textiles) s’affichent sur les étiquettes. Et pour la troisième saison, des pièces en polyester recyclé viennent étoffer la gamme. L’objectif affiché de la griffe locale : « passer une grande partie des collections « éco-responsables » d’ici 2024 »
*un règlement européen (règlement n°1907/2006) entré en vigueur en 2007 pour sécuriser la fabrication et l’utilisation des substances chimiques dans l’industrie européenne.
à lire aussi :
Cénote Plaisir
Formées au soin Kobido traditionnel à l’Académie des Facialistes de Paris, Mélanie Cambrai et Mélanie Kern, praticiennes beauté de l’institut Cénote Plaisir à Anglet, offrent un soin unique, respectueux du savoir-faire ancestral japonais.
Mésothérapie
Le temps, les saisons ou encore la pollution mettent la peau de notre visage à rude épreuve. Quel traitement privilégier lorsque les crèmes hydratantes ne suffisent plus à redonner à la peau son éclat originel ? Comment préserver son visage des agressions extérieures et du temps qui passe ? Rencontre avec le docteur Nicolas Georgieu, chirurgien-plasticien à Bayonne.
Chers auxiliaires de jardin
La nature ne connaît ni auxiliaires ni ravageurs. C’est nous, les humains, qui mettons les habitants de nos jardins dans différentes cases. Ils ne sont pas uniquement nocifs ou exclusivement utiles. Ils sont en réalité les anges gardiens de nos jardins.
J’ai testé le VTT de montagne
Rien de tel qu’une sortie à VTT avec un guide, en vallée d’Ossau, pour prendre confiance en ses aptitudes physiques, en toute sécurité.
Visite privée de la villa TENAYA
Elle est magnétique. D’apparence ultracontemporaine, Tenaya a pourtant été construite… en 1970 ! Un tour de force réalisé par l’agence bordelaise Salier-Courtois-Lajus-Sadirac. Soigneusement restaurée en 2017 par l’agence d’Hugues Touton, elle a conservé son esprit et son (sacré) caractère d’origine. Visite guidée exclusive par Julie Lamboley, directrice de l’agence Architectures immobilier à Biarritz, avec notre expert Fabrice Bisauta de CréHouse.
Quand tout va trop vite, si on (se) déconnectait ?
Apprendre à faire la sourde oreille face à l’agitation du monde est parfois essentiel. Quand on a l’impression de ne pas pouvoir vivre sans son smartphone et que le papillonnage intellectuel épuise, c’est qu’il est peut-être temps de déconnecter.
